[par Cœur d'Aramburu]
J'oblitère. Lo que olvido.
Me vienen bien las mascaras. Y las gomas.
Los yelmos qui rayent le parquet.
Un insecte à pales comme blason.
Et ce type grimé, qui nuit à la nuit,
m'imitant, à m'empiéter.
Au milieu des toucans* je cancane,
frappent les klaxons, puis je fuis.
Me dan gracia los ruidos de los bulevares.
Y las sombras. Y las huellas.
Los balcones también tiemblan.
Puis je fuite.
Yo caigo. Entre carcajadas
y zarzuelas de ojos.
Que gracia. Que pena.
Al brillar un relámpago
dezaparezco.
J'emmagasine l'amanecer.
Une femme m'émiette.
Sa tête m'étête.
J'obtempère.
A la vuelta de la esquina.
Una estatua hace
de espantapájaros.
Une secte. Que d'émoi.
Una pandilla de miroirs.
L'as mascarade.
*loulous de la nuit
Me vienen bien las mascaras. Y las gomas.
Los yelmos qui rayent le parquet.
Un insecte à pales comme blason.
Et ce type grimé, qui nuit à la nuit,
m'imitant, à m'empiéter.
Au milieu des toucans* je cancane,
frappent les klaxons, puis je fuis.
Me dan gracia los ruidos de los bulevares.
Y las sombras. Y las huellas.
Los balcones también tiemblan.
Puis je fuite.
Yo caigo. Entre carcajadas
y zarzuelas de ojos.
Que gracia. Que pena.
Al brillar un relámpago
dezaparezco.
J'emmagasine l'amanecer.
Une femme m'émiette.
Sa tête m'étête.
J'obtempère.
A la vuelta de la esquina.
Una estatua hace
de espantapájaros.
Une secte. Que d'émoi.
Una pandilla de miroirs.
L'as mascarade.
*loulous de la nuit